Lionel - Voyant Médium Pur

Mes histoires vécues

Le spiritisme - Esprit es-tu là ?

À 18 ans j'avais déjà depuis quelques années un fort ressenti, passionné de tout ce qui de près ou de loin touchait au domaine du paranormal ou de l'occultisme, la voyance pure.

Ma toute première fois c'était avec des étudiants en université à qui j'avais l'habitude de tirer les cartes notamment le tarot 1 fois par mois à Lyon.

Je leur proposais donc de s'initier à une séance de spiritisme en tout premier lieu avec un verre et ensuite avec un guéridon.

J'avais donc pris un petit guéridon et nous sommes placés autour avec les mains au-dessus sans toucher ce dernier.

Nous étions 3 personnes une femme, un homme et moi en tant que voyant médium spirite. Nous étions dans la pénombre et soudainement nous avons ressenti des frissons dans le dos qui vous figent.

Ensuite le guéridon s'est mis à trembler et à se pencher sur un seul pied alors d'un seul coup le guéridon est monté sur le pied de l'homme à côté de moi.

Le guéridon se pencha sur le ventre avec force en plaquant cet homme contre le mur. Aucune de nos mains ne tenaient ce guéridon.

Nous avons dû déployer à 3 beaucoup d'énergie pour dégager l'homme de cette malheureuse et éprouvante posture, ce guéridon pesait que 3 kg au maximum.

Nous avons immédiatement cessé cette séance. Cet homme a eu très peur et il ne voulait plus rester seul après cette expérience.

Quelques années plus tard !

Dans la vie sur votre chemin de vie, certains signes vous indiquent la direction à prendre et moi en tant que médium je ne peux pas ou plus passer à côté.

J'avais 25 ans bien que j'étais souvent demandé pour tirer les cartes un peu partout, je travaillais dans une usine pour avoir un revenu stable, mais je voulais, je sentais que j'avais autres choses à faire.

Avec ma copine de l'époque nous vivions chez ses parents et avons décidé de prendre un appartement ce qui fut chose faite très rapidement.

Nous avons donc loué un 4 pièces dans un vieil immeuble où nous étions les seuls locataires au premier étage, le temps d'emménager je n'avais pas eu le temps de monter le lit et donc nous dormions sur le matelas à même le sol.

Le premier soir programme tout vu câlins, dodo. La porte d'entrée avait un vieux verrou que l'on tourne qui fait clac clac. C'est à une heure dix du matin que nous avons entendu clac clac puis 3 pas dans la cuisine et dans ces vieux appartements on reconnaît bien des bruits de pas.

Je me lève j'attrape une latte du lit pas encore monté et arrive dans la cuisine RIEN PERSONNE! J'ouvre la porte d'entrée descend les escaliers quatre à quatre, remonte dans le grenier au-dessus de notre appartement. RIEN ? PERSONNE ! Le reste de la nuit fut normal à part ma copine qui ne pouvait dormir et qui restait collée contre moi avec la latte du lit dans ses mains.

La loi des séries ou signes par les chiffres

Je vous parlais tout à l'heure de signes que l'on reçoit, pour nous montrer une direction en voici un exemple qui m'est arrivé.

Je suis né un 13 septembre, j'étais dans l'année où j'allais avoir mes 26 ans donc le double deux fois treize.

À 25 mètres plus bas dans la rue où se trouvait l'appartement dont je vous parlais tout à l'heure, il y avait un local à louer.

Je passais tous les jours devant et regardais à travers la vitrine, sans vraiment de raison.

Nous avions l'habitude d'aller louer un ou deux films pour le week-end comme beaucoup de monde de notre petite ville.

Il n'y avait qu'une maison de la presse qui avait à peine une centaine de films et pas vraiment des nouveautés sinon il fallait faire dix kilomètres pour le premier vidéo club.

Donc scrutant ce local qui semblait idéal pour un vidéo club je décidai de le louer sans savoir comment j'allais pouvoir financer l'agencement, le stock de films etc. à savoir qu'il fallait plus de cent mille francs à l'époque.

Ce local était situé au numéro 26, je fis faire un bilan prévisionnel et présentai mon projet à 6 banques différentes.

Toutes avaient refusé, on ne prête qu'aux riches et c'est bien vrai !

Et ce n'était pas avec mon petit SMIG de l'usine et mes consultations de voyance que j'allais financer ce projet.

Je ne m'étais pas résigné car persuadé que j'y arriverai.

J'ai donc été voir un menuisier qui a bien compris mon problème et me fit des facilités de paiement.

Et un jour non sans hasard mais le hasard n'existe pas comme je vous l'ai déjà dit auparavant, je feuilletais un magazine professionnel pour les films vidéo, une publicité attira mon attention.

Ceci était noté sur l'annonce "Je vous loue six cent films pour six mille francs par mois. J'ai sauté sur le téléphone et pris rendez-vous avec ce monsieur.

J'habitais dans le Rhône et avais rendez-vous à Valence dans la Drôme le numéro 26. Je venais juste de me rendre compte que né le treize, louer un local au numéro vingt-six et j'allais avoir vingt-six ans le treize septembre de cette année. Je narrai cette histoire à mon sauveur et il m'a répondu texto "Vous allez rire je suis juif !"

Je ne voyais pas le rapport et il m'expliqua ce qui suit.

Il existe une coutume très répandue, qui est, lorsqu'une personne fait un don à la synagogue, elle offrira généralement 26, 52 (2x26), 126, 260, etc., et tous ces nombres ont un point commun, ils contiennent tous le nombre 26, qui est la Guématria (valeur numérique) du Nom d'Hachem. ce qui désigne Dieu.

Je voulais ouvrir mon vidéo le treize septembre 1992 le jour de mes vingt-six ans avec le retard des travaux j'ai ouvert le vingt-six septembre 1992.

ET J'AVAIS FAIT UN CARTON ! Un joli bras d'honneur à la banque qui était juste sur le trottoir en face de mon vidéo.

Je vous laisse en tirer les conclusions

Médium passeur d'âmes

Il y a quelques années j'étais parti avec l'équipe des meilleurs voyants de France au Palais des congrès d'Arcachon pour le salon de la voyance.

À ma table se présenta un jeune couple venu pour une consultation de voyance privé, lors de cette consultation j'ai rapidement ressenti l'objet de leur venue à moi, en effet j'avais perçu des soucis financiers liés à l'habitat et je ne m'étais pas trompé, la jeune femme venait suite au décès de son père d'hériter de la maison familiale.

Les travaux de rafraîchissements venaient de commencer sans cesse interrompus par des coupures d'électricité, petits accidents divers et variés, son compagnon tombé de l'escabeau comme si l'objet s'était dérobé avant qu'il ne mette un pied sur la marche et bien d'autres petits incidents sans gravité et heureusement !

Outre une forte odeur nauséabonde, et quelques grincements de portes ou fenêtres rien de bien affolant de prime abord. Mais une semaine après le début des travaux, cette jeune femme plus particulièrement et son compagnon entendaient des pleurs venant des escaliers qui montaient à la chambre.

Lors d'une photo où ce jeune homme prenait sa compagne qui posait devant cet escalier, nous avons vu sur les premières marches de cet escalier une forme humaine la tête baissée dans une semi brume claire comme un nuage de fumée, j'avais ressenti l'eau également et lorsque je lui ai dit elle a tout de suite sursauté en m'expliquant que son père s'était noyé dans le petit bassin à poisson rouge devant sa maison, un bassin de cinquante centimètres d'eau à tout casser, certainement un malaise.

Ce jeune couple me demanda si je voulais bien venir pour savoir de quoi il retournait, et si cette forme était son père ?

Bien évidemment je répondis favorablement à leur requête, toujours prêt pour une expérience paranormale ainsi que de pouvoir les aider à travers cette épreuve et diriger cette âme à passer de l'autre côté.

Je n'étais encore que sur le seuil de l'entrée qu'un sac de poubelles rempli de vieilles tapisseries ce qui reste encore assez léger, ce sac traversa en glissant sur le parquet d'un bout à l'autre de la pièce en signe que je n'étais pas vraiment le bienvenu, cela est un bon signe le fait de savoir que l'on va pouvoir communiquer avec cet esprit.

Je devais commencer par me présenter à cette âme, en effet il faut toujours respecter un esprit, une âme que ce soit dans le bas astral ou plus haut ce qui reste rare, et bien souvent pour une raison ou un message important à faire passer avant de rejoindre leur chemin de lumière.

Plus j'avançais dans cette maison plus l'odeur était forte je ressentais des frissons dans le dos un souffle froid dans la nuque, le rythme cardiaque qui s'accélère, qu'il faut de suite ralentir faire deux pas en arrière respirer profondément, je ressens encore cette pression sur mon torse et comme de l'eau qui m'empêche de respirer convenablement, le bras gauche endolori que j'ai du mal à bouger, le début du contact venait de commencer il m'exprimait me faisait comprendre que c'était bien une noyade suite à un malaise mais était resté conscient ne pouvant se relever la tête hors de l'eau, une fin tragique et douloureuse.

Médium pur c'est ressentir parfois revivre ce que le défunt a vécu ses dernières minutes, secondes le tout dernier souffle de sa vie, ce qui reste très éprouvant, énormément énergivore.

J'ai demandé au compagnon de sa fille de sortir afin de rester avec elle et son père et de la mettre en contact directement avec son père, ce que l'on appelle un dédoublement, que l'âme et l'esprit "le périsprit comme on le nomme" utilise mes cordes vocales pour s'exprimer par ma bouche, technique plus courte que l'écriture automatique, mais plus éprouvante pour un médium.

Le contact avec sa fille fut rapide, explicite et réconfortant, je n'en n'ai pas eu conscience, ce n'est qu'après que la jeune fille m'a expliqué que son père n'était pas serein quant au devenir de sa maison, et qu'elle soit vendue.

Ce qui a bouleversé la jeune fille qui a donc abandonné l'envie de vendre cette maison et en acheter une autre.

À la nuit tombée, nous avons fait un chemin de lumière du salon au seuil de l'entrée avec des bougies.

Les jours suivants le jeune couple était très bien installé, aux dernières nouvelles un fils est né qui porte le prénom de son grand-père.

Toujours à votre écoute n'hésitez pas à me faire part de vos commentaires ou expériences.

LIONEL. VOTRE VOYANT !

Je vous emmène en voyage !

Je vous emmène dans le sud de l'Espagne, plus précisément à Belmez de la Moraleda.

C'est dans les années 80 que j'entendis parler des apparitions mystérieuses de visages dans ce petit village perché sur une colline à Belmez de la Moraleda.

Ne tenant pas en place je décidai de m'y rendre afin de constater par moi-même en voici le récit que j'avais entendu.

Le 23 août 1971, dans ce petit village espagnol pas très loin de Séville au 5, Rue Rodriguez Acosta. Ce jour-là Maria Fereira œuvrait dans sa cuisine, elle vit se former spontanément un visage humain sur le sol cimenté. Elle appela aussitôt son époux et son fils et ceux-ci constatèrent avec effroi le même phénomène. Pris de peur, la famille se réfugia chez les voisins.

Plus tard le fils retourna dans la maison démolir la chape de ciment de la cuisine et en recouler une autre. Le calme revint pour une semaine. Et le visage réapparut. La famille demanda conseil aux autorités qui récupèrent le bloc de ciment et lancent l'enquête.

Il est apparu que la maison avait été bâtie sur un ancien cimetière, romain, puis musulman, et finalement chrétien. Le sol est retourné et on découvre plusieurs squelettes d'adolescents dont plusieurs sans tête.

Qui dataient du 13e siècle. Victimes de l'inquisition ? Victimes de meurtres ? Nul ne le sait, et les archives municipales de même que les archives autonomes d'Andalousie restent muettes là-dessus. On rapatrie les dépouilles dans un cimetière catholique. Croyant que les esprits vont enfin s'apaiser, on refait une dalle de ciment, et la famille réintégra la maison.

Mais voilà, de nouveaux visages apparaissent peu de temps après, il était bien évident que cette dame était médium pur et que ces esprits voulaient communiquer avec elle et se manifestaient par ces apparitions sur le sol et les murs ne pouvant faire autrement.

Le fils Pereira essayera de les détruire sans réussite les autorités locales relogèrent les Pereira et les empêchent de rentrer chez eux, Afin de vérifier s'il ne s'agit pas d'un canular, mais les manifestations continuent.

En tout, plus 3000 visages différents seront comptabilisés pendant les 35 ans que Madame Pereira habitera cette maison. Ces manifestations étaient pacifiques pas de bruits ou phénomènes de poltergeist esprit frappeur ou autres? pas de sensation de peur non plus, plus une lourde tristesse.

Les visages semblaient changer au gré des humeurs de la maîtresse de maison. Ainsi, Maria Pereira raconte que, victime d'une maladie, elle dut s'absenter et se rendre à l'hôpital. Pendant son séjour, il lui fut rapporté, et elle le constata sur de nombreuses photographies, que les visages prenaient tous une expression de tristesse.

Pour ma part arrivé sur place avec une amie voyante, nous avons tous les deux ressenti cette lourde peine et pleurs qui se dégageaient de cette bâtisse.

La propriétaire n'était pas présente nous n'avons pas pu étendre nos investigations mais lorsque nous sommes partis mon amie a eu la sensation qu'une main lui tirait sa veste pour qu'elle revienne dans la maison qui malheureusement était pleine de curieux, médium, voyant, extralucide, clairvoyant, et toutes personnes intéressées de près ou de loin par l'ésotérisme.

Cette main qui tirait mon amie l'entraîna à l'arrière de la maison, une petite cour intérieure le sol en terre battue, qui avait été retourné à différents endroits pour extraire des ossements.